L'unilatéralité n'est bonne que pour la cuisson du saumon ! Julien Sanchez serait bien inspiré de s'en souvenir, lui qui accumule les décisions aussi intempestives qu'autocratiques, ne consultant même pas sa propre majorité municipale. A vouloir tout réguler, tout vérifier, tout décider quasiment seul il finira un jour par se planter ! On attend... Et par planter sa propre carrière politique. Nous l'espérons !
Mais ce jour n'est pas encore venu, et il nous faut supporter à Beaucaire une gestion municipale théâtralisée qui ne respecte rien ni personne, encore moins les lois et les décisions de justice que les administrés. Oublieuse du fait que toutes ces personnes sans cesse discriminées, montrées du doigt, stigmatisées par des élus dont la grande majorité profère des propos racistes avec le plus grand naturel, sont autant de voix avec lesquelles il faudra compter aux prochaines élections municipales. Un réservoir que Julien Sanchez entend bien caresser dans le sens du poil en temps et en heure, sans vouloir admettre qu'il trouvera porte close en bien des endroits. A trop secouer le cocotier on en perd les fruits ! Et pour reprendre une expression qui lui tient tellement à cœur qu'il nous la ressort à chaque conseil municipal, pour grimper au cocotier il faut avoir le slip propre ! Nous ne saurions trop lui suggérer de vérifier le sien, et celui de son parti par la même occasion...
Je suis pour ma part scandalisée de constater qu'une fois de plus le maire de Beaucaire ne tient aucun compte d'une décision de justice sur des décisions portant atteinte à la laïcité. Nous ne reviendrons pas sur le sujet brûlant des crèches installées chaque année dans l'Hôtel de Ville, ce n'est pas encore un débat de saison, nous attendrons Noël pour lancer le sujet... Nous rappellerons seulement qu'elles ont été déclarées illégales par trois décisions rendues le 16 mars 2018 par le Tribunal Administratif de Nîmes. Julien Sanchez l'a annoncé, nous aurons de nouveau une crèche en décembre 2018, puis en décembre 2019. Avec de la chance il ne sera plus là en 2020 pour perpétuer cette "tradition" qui n'existe que dans l'esprit des pseudos croisés identitaires de tout poil qui prolifèrent partout en France. La haine, le racisme et la xénophobie leur permettent un clonage exponentiel, inquiétant à défaut d'être réussi !
C'est dans l'air du temps d'aller à revers des décisions de justice pour les figures de l'extrême-droite et des mouvements identitaires. Cela l'est plus particulièrement pour les élus du Rassemblement National dont la présidente donne l'exemple en refusant de se rendre aux convocations qui lui sont adressées. Marine Le Pen proteste tellement haut et fort de son innocence dans la déplorable affaire des assistants parlementaires européens qui gangrène son parti qu'il n'y a plus grand monde pour y croire. S'il y en eût pour ce faire... Lorsque vous n'avez rien à vous reprocher et que vous n'avez violé aucune loi, vous vous présentez la tête haute devant les magistrats. Chercher à les éviter donne clairement à penser que vous êtes bel et bien responsable de ce dont vous êtes accusé. En tout état de cause que peut-on attendre d'un premier édile qui accorde sa confiance à un meneur identitaire (1) lourdement condamné par le Tribunal de Poitiers dans une affaire qui donne la nausée ? Que peut-on attendre d'un maire qui continue de lui confier la communication de la ville, et vous explique en conseil municipal qu'une démarche en appel équivaut à annuler ladite condamnation ? Cela alors même que la présence de cette personne porte préjudice à la réputation de notre ville ! Que peut-on attendre d'un homme qui se croit au-dessus des lois et se comporte comme tel depuis plus de quatre ans tout en passant son temps à saisir les tribunaux pour tout et n'importe quoi, et de préférence pour restreindre les libertés individuelles de ses administrés ? Tout cela n'est que politique politicienne des plus malsaine, et malheureusement ce sont vous et moi qui en faisons les frais.
Foin de tout ce merdier ! Ce qui importe, ce qui à moi personnellement me tient à cœur, ce sont les enfants volontairement discriminés par celui qui a oublié qu'il était aussi leur maire. Les petits beaucairois devraient être choyés, entourés, mis dans la lumière pour de bonnes raisons. C'est tout l'inverse qui se produit... Ce qui me fait bondir ce sont les atteintes à l'esprit de tolérance et d'égalité porté par la loi de 1905 qui encadre la laïcité. Le respect, la considération, le souci du bien-être de l'autre devraient prévaloir, c'est tout l'inverse que nous vivons... Ce qui m'insupporte c'est l'ambiance mortifère que cette équipe municipale incompétente est parvenue à installer dans nos rues. A tout instant nous sommes sur nos gardes, nous ne savons pas qui prête l'oreille à nos propos, qui ira les rapporter à qui de droit pour se faire valoir, qui osera un rapprochement mensonger dans l'espoir de nous nuire, qui virera casaque pour lécher les bottes du maire en tournant le dos aux libertés que nous défendons... C'est cela l'esprit qui prévaut dans notre ville depuis quatre ans que nous est imposée à tout instant une vision municipale passée par le prisme de la haine et du rejet.
Alors bien sûr cela ne nous empêche ni d'agir ni de parler, ni d'échanger ni d'espérer, mais cela nous pourrit quotidiennement la vie. J'assume pour ma part, et je suis loin d'être la seule, les combats dans lesquels je suis engagée. Je ne regrette pas un instant de me tenir aux côtés de ceux qui sont discriminés, et d'une certaine façon persécutés de mille et une façons par ceux qui devraient veiller sur eux. Julien Sanchez n'est pas uniquement le maire de ceux qui l'ont élu, il est aussi hélas celui de tous les autres. De ceux qui ont voté pour d'autres comme de ceux qui n'ont pas voté. Mais peu lui importe ! Il suit son bonhomme de chemin en toute quiétude, assuré d'avoir à chaque fois soufflé sur les peurs qui sont le fond de commerce de son parti, peu soucieux de laisser à Beaucaire une empreinte autre que celle de l'incompétence, de la haine, du rejet, des discriminations de toutes sortes. Un mini dictateur sans le talent de Charlie Chaplin, égaré en Terre d'Argence, dont on peut craindre que les décisions autocratiques ne s'arrêtent pas là !
Alors nous attendons... Il finira par partir #BonVent
C'est dans l'air du temps d'aller à revers des décisions de justice pour les figures de l'extrême-droite et des mouvements identitaires. Cela l'est plus particulièrement pour les élus du Rassemblement National dont la présidente donne l'exemple en refusant de se rendre aux convocations qui lui sont adressées. Marine Le Pen proteste tellement haut et fort de son innocence dans la déplorable affaire des assistants parlementaires européens qui gangrène son parti qu'il n'y a plus grand monde pour y croire. S'il y en eût pour ce faire... Lorsque vous n'avez rien à vous reprocher et que vous n'avez violé aucune loi, vous vous présentez la tête haute devant les magistrats. Chercher à les éviter donne clairement à penser que vous êtes bel et bien responsable de ce dont vous êtes accusé. En tout état de cause que peut-on attendre d'un premier édile qui accorde sa confiance à un meneur identitaire (1) lourdement condamné par le Tribunal de Poitiers dans une affaire qui donne la nausée ? Que peut-on attendre d'un maire qui continue de lui confier la communication de la ville, et vous explique en conseil municipal qu'une démarche en appel équivaut à annuler ladite condamnation ? Cela alors même que la présence de cette personne porte préjudice à la réputation de notre ville ! Que peut-on attendre d'un homme qui se croit au-dessus des lois et se comporte comme tel depuis plus de quatre ans tout en passant son temps à saisir les tribunaux pour tout et n'importe quoi, et de préférence pour restreindre les libertés individuelles de ses administrés ? Tout cela n'est que politique politicienne des plus malsaine, et malheureusement ce sont vous et moi qui en faisons les frais.
Foin de tout ce merdier ! Ce qui importe, ce qui à moi personnellement me tient à cœur, ce sont les enfants volontairement discriminés par celui qui a oublié qu'il était aussi leur maire. Les petits beaucairois devraient être choyés, entourés, mis dans la lumière pour de bonnes raisons. C'est tout l'inverse qui se produit... Ce qui me fait bondir ce sont les atteintes à l'esprit de tolérance et d'égalité porté par la loi de 1905 qui encadre la laïcité. Le respect, la considération, le souci du bien-être de l'autre devraient prévaloir, c'est tout l'inverse que nous vivons... Ce qui m'insupporte c'est l'ambiance mortifère que cette équipe municipale incompétente est parvenue à installer dans nos rues. A tout instant nous sommes sur nos gardes, nous ne savons pas qui prête l'oreille à nos propos, qui ira les rapporter à qui de droit pour se faire valoir, qui osera un rapprochement mensonger dans l'espoir de nous nuire, qui virera casaque pour lécher les bottes du maire en tournant le dos aux libertés que nous défendons... C'est cela l'esprit qui prévaut dans notre ville depuis quatre ans que nous est imposée à tout instant une vision municipale passée par le prisme de la haine et du rejet.
Alors bien sûr cela ne nous empêche ni d'agir ni de parler, ni d'échanger ni d'espérer, mais cela nous pourrit quotidiennement la vie. J'assume pour ma part, et je suis loin d'être la seule, les combats dans lesquels je suis engagée. Je ne regrette pas un instant de me tenir aux côtés de ceux qui sont discriminés, et d'une certaine façon persécutés de mille et une façons par ceux qui devraient veiller sur eux. Julien Sanchez n'est pas uniquement le maire de ceux qui l'ont élu, il est aussi hélas celui de tous les autres. De ceux qui ont voté pour d'autres comme de ceux qui n'ont pas voté. Mais peu lui importe ! Il suit son bonhomme de chemin en toute quiétude, assuré d'avoir à chaque fois soufflé sur les peurs qui sont le fond de commerce de son parti, peu soucieux de laisser à Beaucaire une empreinte autre que celle de l'incompétence, de la haine, du rejet, des discriminations de toutes sortes. Un mini dictateur sans le talent de Charlie Chaplin, égaré en Terre d'Argence, dont on peut craindre que les décisions autocratiques ne s'arrêtent pas là !
Alors nous attendons... Il finira par partir #BonVent
(1) Damien Lefèvre, dit Rieu, ex porte parole de Génération Identitaire, condamné à 1 an de prison avec sursis, 2 ans de mise à l’épreuve et 5 ans de privation de ses droits civiques, civils et de famille au titre de l'article 131-26 du Code pénal pour "provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe en raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée" et pour "dégradations commises en réunion" suite à l'occupation du chantier de la Mosquée de Poitiers en 2012
Très bonne réflexion. J'ajouterai que le maire aussi devrait faire l'objet d'un examen psychiatrique.
RépondreSupprimerIl a fait du mal a beaucoup trop de monde, il est temps que cela cesse et qu'il dégage vite de la mairie.
Quant à moi j'ai des informations "dossiers" que je vous divulgerai en temps voulu pour le faire tomber.